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Dauphiné. —Defrance. 225
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Car il n'eft pas un feul de ces meffieurs qui ne foit de cette dernière claffe, foit par tempérament, par imitation ou par nèceffité. »
(Le Chroniqueur àésauvri, II, 37. —Brocliure intitulée : . Christophe Lerond. Paris, Cailleau, 1783.)
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D
AUPHINÉ (Jean dit), entrepreneur de spectacles, faisait voir un optique à la foire Saint-Ovide de 1777.
A Monfeigneur le Lieutenant général de police.
Le nommé Jean dit Dauphiné, mécanicien, prend la refpectueufe liberté dc repréfenter à Votre Grandeur, qu'il défireroit faire voir fon optique augmenté de figures mécaniques repréfentant l'augufte maifon royale et toute fa cour et la chafle royale à l'arc, dans une loge roulante montée fur quatre roues, à Ia foire St-Ovide, place Louis XV, en ayant obtenu la permiffion deM. le prévôt des marchands pour fe placer hors l'enceinte de la foire et fur le boulevard, et tous lieux dépendant des domainas de la ville, il ofe cfpérer que Votre Grandeur daignera lui être favorable. Sa reconnoiffance égalera fon profond refpect (1).
(Archives dei Comm., n- 1508.)
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D
EFRANCE, mécanicien-constructeur d'automates, exposait en 1746, au château des Tuileries, des Auteurs automates et des oiseaux mécaniques « qui chantoient plufieurs airs avec une délicatefTe merveilleufe ». Les Auteurs et les oiseaux étaient visibles « au rez-de-chauffée du veftibule dans la falle des gardes de Madame la Dauphine ». Les places, qui coûtaient d'abord 3 livres, ne furent plus payées que 24 sols quelques jours après l'ouverture. On entrait de onze heures à une heure et de trois heures à six heures.
(Aj/ichel de Paris, 1746.)
Voy. Lagrelet.
(i) La permission fut accor-cc.
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Sp. 15
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